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Auteur Marikala – Compositeur Frédéric Arnold

Qu’on est bien dans sa boite, on s’y cache, on s’y emboite
Et on oublie peu à peu, ce qui nous rend heureux
Embrigadés dès la naissance, sentiment d’appartenance
Consommation à outrance, d’une société dans l’errance

Perdre son temps pour de l’argent, redépenser tout autant
User sa santé pour gagner, ce qu’impose la société
Nos oeillères bien verrouillées, en rang d’oignon très très serrés,
Autodestruction programmée… 4…3…2…

Oui mais moi, j’ai envie de croire, à un monde vert, couleur d’espoir
Où chacun ferait sa part … quelque part
Petits colibris, tous unis, déployer nos ailes endolories
S’éveiller enfin à la vie, être heureux aujourd’hui
Papayapa papapa, Papayapa papapa…

Du brin d’herbe à l’immensité, le bonheur dans la sobriété
Sentir la terre là sous nos pieds, à nouveau s’y ancrer
Par nos yeux, nourrir notre âme, beauté fragile, plus d’aspartame
Richesse sans filtre, vie colorée, rire et simplicité

Oui mais moi, j’ai envie de croire, à un monde vert, couleur d’espoir
Où chacun ferait sa part … quelque part
Petits colibris, tous unis, déployer nos ailes endolories
S’éveiller enfin à la vie, être heureux aujourd’hui
Papayapa papapa, Papayapa papapa…